ce 19 juillet 2019 association des américains accidentels
Conseild'État - Assemblée - 19 juillet 2019 - n° 424216. Conseil d'État - Assemblée. 19 juillet 2019 / n° 424216. Sommaire. Résumé . Texte intégral. Fonctionnalités. Imprimer.
JUILLET2019. COMME. DES. MAX ET SES AMIS REMETTENT. BÊTES 2. L’APPARTEMENT SENS DESSUS. DESSOUS ! FOCUS. Le Roi Lion revient dans. un remake somptueux. Tom Holland. en. 5. dates. Zoom sur The Operative : à la recherche. de l’espionne Diane Kruger. LE 10 JUILLET. un remake somptueux. MAX ET SES AMIS REMETTENT.
Selonla Fédération bancaire européenne (FBE), plus de 300.000 personnes sont concernées dans l’Union européenne. Depuis deux ans, nombre d’entre elles ferraillent, notamment au travers de l’Association des Américains accidentels (AAA) en France, pour que leur soit accordé un régime dérogatoire leur permettant d’être exonérés d’obligations fiscales
Depuisla jurisprudence Association des Américains accidentels (CE, ass., 19 juill. 2019, n° 417), le Conseil d’État s’est reconnu compétent pour apprécier la légalité
CE., 19 juillet 2019, Association des Américains accidentels, nos 424216 424217 Le moyen d’incompétence, moyen de légalité externe encore susceptible d’être invoqué au soutien d’une exception d’illégalité dirigé contre une décision de refus d’abroger un acte règlementaire, doit composer avec la sécurité juridique.
Site De Rencontre Dans Le 44. Beaucoup s’y sont essayé, peu sont arrivés au bout des 130 croix et calvaires que compte le territoire plouguernéen. C’est avec beaucoup de persévérance qu’Eugène Guiriec, curé à Plouguerneau, a élaboré un inventaire exhaustif de ce patrimoine et avant lui Yves-Pascal Castel. C’est tout naturellement que la source de ce travail est devenue le précieux Répertoire des croix et des calvaires de Plouguerneau ». Ce répertoire a vu le jour en 1981, soit un an après l’année du patrimoine, comme le précise Eugène Guiriec L’année 1980, est à l’origine de ce travail qui ne voit le jour qu’un an après, et encore grâce à de nombreuses collaborations, à qui je m’empresse d’adresser un chaleureux merci. » Le registre établissant un inventaire très précis a été reçu à l’époque par Monsieur le Maire, Léon Guéguen, comme un témoignage important lié à l’histoire plouguernéenne. Pierre Abjean en guise de préface précise également La publication de croix et calvaires … a incité un large public, aujourd’hui sensibilisé, à cette nécessité objective et morale la sauvegarde du patrimoine archéologique, historique et culturel de notre commune. Or, cette sauvegarde suppose l’application d’un dénombrement complet, c’est-à-dire un inventaire , car ces calvaires et ces croix font partie intégrante de nos communautés, croix placées aux croisées de route ou pour prendre la place d’un dieu des carrefours aux temps du paganisme. » Trente ans après le travail de cet homme passionné, Plouguerneau d’hier et d’aujourd’hui a l’ambition d’établir un nouvel état des lieux des croix et calvaires de Plouguerneau. Le travail est plus aisé qu’en 1980. Il existe des fondations à ce travail. Malgré tout, ce nouvel inventaire a été réalisé sur plus d’une année… Il est cependant à noter que l’évolution des temps propose un autre défi. Des croix ou calvaires ont peut-être disparu à tout jamais ou ont été déplacés. Délice des temps, certaines croix sont réapparues. Le véritable pari est de proposer un nouvel inventaire. Celui-ci ne pourra être exhaustif. Comme se plaisait à le faire remarquer Eugène Guiriec, ce qui est vrai aujourd’hui, ne l’était pas nécessairement hier , alors il y a trente ans ! Et qu’en sera-t-il dans trente ans ?… Les croix sont classées par lieux-dits ou hameaux. Pour chacune d’entre elles, il est proposé une notice avec une photo, un point GPS et une brève explication lorsque cela est possible. Le nom de la croix est suivi de deux références. La première, EG » est celle qu’Eugène Guiriec donne à son ouvrage Répertoire des Croix et Calvaires de Plouguerneau ». La seconde, YC » appartient à Yves-Pascal Castel faisant référence à son Atlas des croix et calvaires du Finistère ». Au 8 mai 2011 125 croix apparaissent dans notre inventaire 131 pour Eugène Guiriec. Certaines croix semblent avoir disparu à tout jamais, Anteren 1, Beg ar c’hastel 8, Kerezoc 41bis, Kervener 64, Kerveogant 65, Kiella 68, Perros 101bis. Peut-être suis-je simplement passés à côté ?… Les numéros correspondent à la référence d’Eugène Guiriec. Lorsqu’en 1980, Eugène Guiriec entreprit la réalisation de son Répertoire », il dressa également l’inventaire des croix connues et disparues Carpont croix en bois, Dreinoc croix en bois, Goarivan croix en pierre, île d’Erc’h île des américains, deux croix en fer, Kerambars croix en pierre, Kerdudan, Kerneac’h an Traon cette croix a retrouvé sa place, Lienen croix en pierre. Pourquoi toutes ces croix ? Que signifient-elles ? … à venirAvant d’en terminer avec cet inventaire Nous sommes preneurs d’un cliché de la croix de Stagadon, ainsi que de son point GPS. La croix du Pont Krac’h 103 n’apparaîtra pas dans cet inventaire, contrairement au choix d’Eugène Guiriec. En effet, celle-ci se situe sur le côté lannilisien de l’Aber Wrac’h. Le choix du prêtre de la lister dans son annuaire était dû au fait que la croix trouvait son origine dans la légende de Saint Pol. Si malgré nos recherches il venait à manquer une croix, n’hésitez pas à la signaler. Il est possible de nous envoyer un message en cliquant sur le prénom en haut de l’article. Afin de ne pas les oublier, voici les annexes du Répertoire des Croix et Calvaires de Plouguerneau », d’Eugène Guiriec. Annexes du Répertoire des Croix et Calvaires de Plouguerneau » Eugène Guiriec Annexes Croix transférées La croix de Kergasken Désignée sous l’appelation de Kroazig-verr » une croix courte » de plus !, elle a été plantée dans le talus bordant la route de Plouguerneau à Guisseny, à la limite sud d’un champ appelé tout naturellement park ar groazig-verr », situé à gauche et à mi-route entre le village de Kroaz-Edern et l’embranchement du Zorn. Cette croix de granit signalait peut-être la proximité de l’ancienne chapelle Ste Marguerite, à Kergasken ; celle-ci était peut-être adossées au pignon est du vieux manoir, à la place actuelle de la grange… La statue de Ste Marguerite que l’on voit dans la chapelle de Kérodern provient de cette ancienne chapelle, qui fut démolie vers 1895. Avec l’autorisation de la famille Cabon, la croix a été cédée en 1964 à la Congrégation des Servantes de l’Agneau de Dieu, 85, route du Vieux St-Marc, à Brest. La croix du Treiz-Koz, au Derbez Cette croix, en granit également, a été remise par Eric Galiou aux services techniques de la commune. Croix disparues* Au Carpont. C’était une croix récente, en bois, qui fut érigée à gauche, en bordure de la côte qui monte du Carpont vers Ranénézy, à peu près en face de la carrière. A cet endroit, le 12 octobre 1935, François Yves Marie Loaec, 30 ans, époux d’Olive Calonnec de Gorrekear, voulant maîtriser son cheval emballé, se blessa mortellement en sautant de sa charrette… Au Dreinoc. Une croix semblable se voyait au bord de la route jusqu’à il y a une vingtaine d’années. Elle rappelait la mort accidentelle, dans un cas analogue, de Guillaume Sanquer, 59 ans, de Kerhuel, survenue le 8 avril 1916, alors qu’il revenait à la maison avec une charretée d’herbe. A Goarivan. La famille René Chever dit Nan ar Bi » se souvient d’avoir vu, tout près de son puits, aujourd’hui bouché, une petite croix de pierre, actuellement introuvable… Avec les remaniements successifs des talus qui entourent la maison, elle a dû être engloutie dans l’un ou l’autre des muretins de clôture… A l’île d’Erc’h. Facilement accessible à toutes les marées basses à partir de Kerazan, cette île est aussi appelée l’île des Américains », du fait de leur séjour en ces lieux pendant la guerre 14-18. On dit que 2 croix de fer s’y trouvaient naguère souvenirs de naufrages, peut-être… mais il n’en reste plus aucune trace… A Kérambars. Cette croix de pierre se situait sur le talus sud, entre la ferme de Jérôme Sanquer et celle de Mr Yves Favé. Lorsque fut élargie la route de Prat Paol vers 1968 ?, elle a dû être ensevelie avec la caillasse des terrassements,… à moins que quelqu’un en ait profité pour se l’approprier ou la revendre… A Kerdudan. Beaucoup de personnes se souviennent de cette croix, devant laquelle elles se signaient pieusement, comme c’était la pieuse habitude, lorsqu’elles prenaient le raccourci qui joignait directement Kerdudan à la route de Lesneven, face à St Kénan. Cette croix s’identifie peut-être à la croix n°111 bis… Sinon, il faut la porter réellement disparue ! A Liénen. De cette croix, il ne reste que le socle, voisinant avec d’énormes rochers, dans un site pittoresque. Est-ce toujours le champ Galliou ? De nombreuses maisons neuves se sont construites aux alentours… C’est toujours, en tout cas, non loin de chez Mad. Vve Léon… * Il n’est pas fait état de la croix de Kernéac’h an Traon qui a retrouvé sa place. NDLR Vestiges de croix A la Révolution de 1789, beaucoup de statues ont été décapitées, beaucoup de mutilées ou mises en miettes. Quelques morceaux furent recueillis par des mains pieuses, et enfouis dans les soubassements des grandes croix… En plus des morceaux qui sont encore visibles dans les soubassements de la croix du NAOUNT n° 100 et de celle de KERGRATIAS n° 48, il faut signaler les vestiges précieux que sont ; la PIETA qui repose sur un socle, contre le pavillon du tourisme, près de l’église. Légèrement mutilée, on voit bien qu’elle provient d’une croix elle s’adosse à un fût circulaire, de 0,20 m. de diamètre environ. la statue de St JEAN L’EVANGELISTE lui fait pendant, sur le même pignon l’ apôtre est assis ; des mains, il tient un livre ouvert sur un piédestal ; à ses pieds, un aigle mutilé. la statue de Ste MARIE-MADELEINE, dans la chapelle St-Laurent la sainte est à genoux, un vase de parfum à son côté. la VIERGE A L’ ENFANT de l’église du Grouanec, dans une niche basse qui devait servir autrefois de bénitier… Jusqu’à la restauration de cette église, la statue se trouvait à Kerriec, sur le socle de la croix n° 62. Elle s’encastre dans l’évidement d’un chapiteau circulaire à moulures, et elle porte 2 écus d’un côté, un calice et les lettres N D » ; de l’autre, les instruments de la Passion. C’était le verso d’un Christ en croix, dont il ne reste qu’un morceau de fût circulaire et un pied de crucifié… L’ensemble provient donc d’un calvaire, et probablement du calvaire même de Kerriec dont le soubassement intact reste, de nos jours, si impressionnant… La Pieta Saint Jean l’Evangéliste Sainte Marie Madeleine La Vierge à l’Enfant
Après les "Américains accidentels", c'est au tour des banques européennes de monter au créneau contre le Fatca, une règlementation fiscale américaine devenue un casse-tête bancaire et juridique sur le Vieux Continent et une potentielle source de contentieux avec Washington. Destinée à lutter contre l'évasion fiscale, le Foreign Account Tax Compliance Act FATCA est une loi adoptée en 2010 par Washington, en vigueur depuis 2014 pour ce qui concerne la France, permettant à l'administration fiscale américaine de recueillir automatiquement auprès des banques étrangères des informations sur leurs clients américains. En cas de refus, elles s'exposent à des sanctions à hauteur de 30% de leurs flux financiers avec les identifier tous les clients américains et binationaux est devenu un défi pour les banques. Tenues de fournir le numéro d'identification fiscale américain de ces clients, les banques butent sur les absences de réponse et sur le dossier des "Américains accidentels".Ces personnes nées aux Etats-Unis possèdent la nationalité américaine en vertu du droit du sol. La loi fiscale américaine s'appliquant selon un critère de nationalité, elles se retrouvent donc imposables également aux Etats-Unis alors qu'elles n'y résident pas et n'y ont quasiment pas les banques, ces clients sont passibles de sanctions s'ils ne fournissent pas d'identifiant fiscal... qu'ils ne possèdent souvent pas, l'attribution de ces numéros étant devenue automatique aux Etats-Unis en Respecter la loi européenne ou américaine ? -Selon la Fédération bancaire européenne FBE, plus de personnes sont concernées dans l'Union européenne. Depuis deux ans, nombre d'entre elles ferraillent, notamment au travers de l'Association des Américains accidentels AAA en France, pour que leur soit accordé un régime dérogatoire leur permettant d'être exonérés d'obligations fiscales américaines, voire de renoncer aisément à la nationalité américaine - une démarche aujourd'hui longue et banques européennes se sont, elles, retrouvées face au dilemme suivant respecter la législation européenne, qui les oblige à fournir une offre bancaire basique à des clients binationaux sans identifiant américain, ou se conformer à la réglementation américaine en clôturant le compte de ces 2017, les autorités fiscales américaines ont accepté un moratoire, valide jusqu'à fin décembre 2019, stipulant qu'il n'y aurait pas infraction si, au lieu d'un identifiant fiscal, les banques fournissaient la date de naissance des clients concernés et demandaient chaque année pour chacun d'eux des identifiants 10 mois de l'échéance, les banquiers européens ont repris leurs négociations avec Washington, une délégation de la Fédération bancaire européenne ayant ainsi rencontré à la mi-mars des représentants du Trésor américain, afin de trouver "une solution permanente" .En cas de non-conformité, "cette question peut conduire à graves difficultés financières - y compris la faillite - des banques", exposées à une sanction de 30% du montant de leurs flux financiers avec les Etats-Unis, prévient la éviter ces "potentielles et énormes sanctions", les banques "seront probablement obligées de rompre des contrats existants" menant "à l'exclusion financière" d'un "nombre important" de clients européens binationaux, ce qui "serait contraire aux objectifs du G20", prévient l'association de lobbying Exclusion bancaire -Dans les faits, cette exclusion bancaire a déjà commencé depuis plusieurs années, relate à l'AFP Fabien Lehagre, président de l'Association des Américains accidentels AAA en ou refus d'ouverture de compte bancaire, pas d'accès à des produits de placements ou au crédit la multiplication de ces situations pénalisantes a décidé l'AAA à porter plainte prochainement contre certains établissements bancaires pour qui a déjà engagé de multiples initiatives, attend une décision du Conseil d'Etat auprès duquel elle déposé en octobre 2017 un recours pour s'opposer à l'application en France du Fatca, au motif que l'accord n'a pas de réciprocité avec les Etats-Unis et porte atteinte à la vie niveau européen, le Parlement a appelé en juillet 2018 à l'ouverture de négociations avec Washington et à la protection des "Américains accidentels" d'Europe. Depuis le sujet n'a pas eu d'avancée publique. Dans le milieu bancaire, la mise en oeuvre de Fatca laisse aussi un goût amer. "On s'est laissé imposer une nouvelle fois des choses très difficilement supportables par les Américains", estime auprès de l'AFP Bernard Pouy, président du Cercle de la régulation et de la supervision financière CRSF, un think tank bancaire."En Europe, nous ne sommes pas bien organisés pour résister à la stratégie de conquête du monde financier des Américains. Nous ne sommes pas suffisamment portés à la fois par nos régulateurs et nos représentants politiques qui devraient nous défendre", déplore-t-il. Destinée à lutter contre l'évasion fiscale, le Foreign Account Tax Compliance Act FATCA est une loi adoptée en 2010 par Washington, en vigueur depuis 2014 pour ce qui concerne la France, permettant à l'administration fiscale américaine de recueillir automatiquement auprès des banques étrangères des informations sur leurs clients américains. En cas de refus, elles s'exposent à des sanctions à hauteur de 30% de leurs flux financiers avec les identifier tous les clients américains et binationaux est devenu un défi pour les banques. Tenues de fournir le numéro d'identification fiscale américain de ces clients, les banques butent sur les absences de réponse et sur le dossier des "Américains accidentels".Ces personnes nées aux Etats-Unis possèdent la nationalité américaine en vertu du droit du sol. La loi fiscale américaine s'appliquant selon un critère de nationalité, elles se retrouvent donc imposables également aux Etats-Unis alors qu'elles n'y résident pas et n'y ont quasiment pas les banques, ces clients sont passibles de sanctions s'ils ne fournissent pas d'identifiant fiscal... qu'ils ne possèdent souvent pas, l'attribution de ces numéros étant devenue automatique aux Etats-Unis en Respecter la loi européenne ou américaine ? -Selon la Fédération bancaire européenne FBE, plus de personnes sont concernées dans l'Union européenne. Depuis deux ans, nombre d'entre elles ferraillent, notamment au travers de l'Association des Américains accidentels AAA en France, pour que leur soit accordé un régime dérogatoire leur permettant d'être exonérés d'obligations fiscales américaines, voire de renoncer aisément à la nationalité américaine - une démarche aujourd'hui longue et banques européennes se sont, elles, retrouvées face au dilemme suivant respecter la législation européenne, qui les oblige à fournir une offre bancaire basique à des clients binationaux sans identifiant américain, ou se conformer à la réglementation américaine en clôturant le compte de ces 2017, les autorités fiscales américaines ont accepté un moratoire, valide jusqu'à fin décembre 2019, stipulant qu'il n'y aurait pas infraction si, au lieu d'un identifiant fiscal, les banques fournissaient la date de naissance des clients concernés et demandaient chaque année pour chacun d'eux des identifiants 10 mois de l'échéance, les banquiers européens ont repris leurs négociations avec Washington, une délégation de la Fédération bancaire européenne ayant ainsi rencontré à la mi-mars des représentants du Trésor américain, afin de trouver "une solution permanente" .En cas de non-conformité, "cette question peut conduire à graves difficultés financières - y compris la faillite - des banques", exposées à une sanction de 30% du montant de leurs flux financiers avec les Etats-Unis, prévient la éviter ces "potentielles et énormes sanctions", les banques "seront probablement obligées de rompre des contrats existants" menant "à l'exclusion financière" d'un "nombre important" de clients européens binationaux, ce qui "serait contraire aux objectifs du G20", prévient l'association de lobbying Exclusion bancaire -Dans les faits, cette exclusion bancaire a déjà commencé depuis plusieurs années, relate à l'AFP Fabien Lehagre, président de l'Association des Américains accidentels AAA en ou refus d'ouverture de compte bancaire, pas d'accès à des produits de placements ou au crédit la multiplication de ces situations pénalisantes a décidé l'AAA à porter plainte prochainement contre certains établissements bancaires pour qui a déjà engagé de multiples initiatives, attend une décision du Conseil d'Etat auprès duquel elle déposé en octobre 2017 un recours pour s'opposer à l'application en France du Fatca, au motif que l'accord n'a pas de réciprocité avec les Etats-Unis et porte atteinte à la vie niveau européen, le Parlement a appelé en juillet 2018 à l'ouverture de négociations avec Washington et à la protection des "Américains accidentels" d'Europe. Depuis le sujet n'a pas eu d'avancée publique. Dans le milieu bancaire, la mise en oeuvre de Fatca laisse aussi un goût amer. "On s'est laissé imposer une nouvelle fois des choses très difficilement supportables par les Américains", estime auprès de l'AFP Bernard Pouy, président du Cercle de la régulation et de la supervision financière CRSF, un think tank bancaire."En Europe, nous ne sommes pas bien organisés pour résister à la stratégie de conquête du monde financier des Américains. Nous ne sommes pas suffisamment portés à la fois par nos régulateurs et nos représentants politiques qui devraient nous défendre", déplore-t-il.
B2 Avec plusieurs morts dans l’opération Barkhane, coup sur coup entre fin décembre et début janvier, la menace des mines et autres engins explosifs artisanaux apparait en croissance. En fait, il n’en est rien. Détection d’IED par des militaires de Barkhane Crédit EMA – DICOD – Archives B2 Un chiffre plutôt régulier tous les ans Tous les ans, nous découvrons, décelons et empêchons l’explosion d’une grosse vingtaine d’IED posés par les groupes terroristes » indique le colonel Barbry, porte-parole de l’état-major des armées. Ce chiffre est à peu près stable » d’une année sur l’autre. Tous les ans, on déplore environ une dizaine d’attaques qui ne font pas tous des victimes. » Il n’y a pas de recrudescence ni de pause » . Le véritable pic des attaques a eu lieu en 2015 ». Depuis, il est en fait en décroissance ». L’ajout de produits pour doubler l’effet explosif Ce qui change plutôt est la valorisation » des engins posés, avec ce qu’on appelle du Home made exclusive » HME. Autrement dit l’ajout de précurseurs chimiques ou autres produits ex. nitrates… à l’intérieur de l’engin qui augmentent l’effet de l’explosion. En fonction de la charge mise, vous obtenez des dégâts proportionnels avec les matériels mis à l’intérieur. » Depuis 2013, on observe l’ajout de Home made exclusive dans les IED ». Les charges peuvent être importantes jusqu’à 40 kg. Sans automatiquement d’augmentation des doses d’explosifs. Une fabrication locale éprouvée Les systèmes des IED utilisés au Mali sont basiques et rudimentaires », généralement à pression ». La fabrication reste robuste mais relativement simple » à placer. Mais il n’y a pas d’improvisation. Il y a des centres logistiques locaux », et nécessairement des artificiers » en mesure de fabriquer les IED sur place. Un dispositif anti-IED Les Français disposent d’un parc de 400 brouilleurs, mis en place depuis l’intervention en Afghanistan surtout. Plus des deux tiers sont déployés notamment au Sahel. » Ces brouilleurs mettent en place une bulle de sécurité », particulièrement efficaces sur les RcIED », les engins IED radio-commandés, déclenchés par un téléphone portable par exemple 2. Mais ils peuvent beaucoup moins contre les engins explosifs sans télécommande, notamment contre les PP-IED, déclenchés par la pression le passage d’un véhicule par exemple. Ce sont ces engins à pression que l’on retrouve majoritairement » au Mali et au Sahel en général. Des ouvertures d’itinéraire Face aux IED plus rudimentaires, c’est la pratique d’une reconnaissance par un détachement d’ouverture d’itinéraire et de protection qui est utilisée avec des véhicules emblématiques Buffalo 1 et Souvim Système d’OUVerture d’Itinéraires Minés. Ce système d’ouverture de terrains minés permet de parcourir environ 150 km entre 8 et 10 heures. » Soit une vitesse de progression d’une petite dizaine de km/h au Sahel. Vitesse qui peut paraitre lente. Mais on est ici sur un terrain abrasif rugueux et compliqué ». Le renseignement humain vital Le problème est que des engins peuvent être posés après le passage des véhicules de reconnaissance. Ce qui nécessite pour les armées d’avoir une certaine organisation » et surtout de recourir au renseignement humain ». Une nécessité » dans la traque pour la sécurité […] afin de remonter les chaines, de localiser les centres de fabrication, les plots logistiques et ceux qui les mettent en œuvre »… Nicolas Gros-Verheyde Un véhicule militaire blindé à roues renforcé de type MRAP résistant aux mines et protégé contre les embuscades, construit par Force Protection, une division de General Dynamics. Le plus récent des systèmes, le programme Barrage’ dit actif-réactif avec goniométrie, est en cours de déploiement. Il devrait à terme remplacer les autres systèmes. Six Barrage’ sont déjà déployés dans la bande sahélo-saharienne BSS en terminologie militaire. Ces réponses ont été données aux différents journalistes présents lors du point presse de la DICOD du auquel participait B2 via audioconférence.
Par Rédaction - New York Publié le 03/10/2019 à 1717 Mis à jour le 03/10/2019 à 1759 L'Association des Américains Accidentels vient de déposer une plainte contre la France auprès de la Commission européenne pour violation du droit de l'Union européenne. Les banques françaises pourraient fermer les comptes de 40 000 " Américains accidentels " français d'ici la fin de l'année. Les Américains accidentels devant la Commission Européenne L'Association allègue que l'Accord intergouvernemental IGA Franco-Américain du 14 novembre 2013, qui permet l'application en France de la législation américaine à caractère extraterritorial, Foreign Account Tax Compliance Act FATCA de 2010, viole le droit communautaire en obligeant les institutions financières, comme les banques et les compagnies d'assurance, à transmettre les données financières de tous leurs clients américains aux autorités fiscales américaines. L'Association porte l'affaire devant la Commission à la suite du rejet de sa plainte par le Conseil d'Etat français le 19 juillet dernier. L'Association considère que l'IGA viole le Règlement général de l'UE sur la protection des données UE 2016/679 RGPD en autorisant le stockage et la transmission massifs aux États-Unis des données personnelles de nombreuses personnes identifiées comme "personnes américaines". Le mécanisme ne tient pas compte du fait que la plupart de ces personnes n'ont aucun lien avec les États-Unis. Elle ne prévoit aucune mesure de protection des données à caractère personnel et ne permet pas aux personnes concernées d'accéder aux données qu'elles ont transmises ni de corriger les erreurs qui pourraient s'y glisser. "Cette absence de garanties, associée au caractère disproportionné des informations transmises à l'IRS, viole clairement la législation européenne sur la protection des données personnelles", déclare Patrice Spinosi, l'avocat de l'association. "En outre, comme l'a statué la Cour de justice des Communautés européennes, les États-Unis n'accordent pas une protection adéquate aux droits fondamentaux des individus dans le traitement de leurs données". 40,000 comptes en banques clôturés La Commission européenne dispose d'un délai de douze mois à compter du 3 octobre pour examiner l'affaire et décider s'il y a lieu d'engager une procédure formelle d'infraction contre la France. Je regrette que le gouvernement français n'ait rien fait pour remédier à ce problème ", déclare Fabien Lehagre, président de l'association. "Le gouvernement est parfaitement conscient que les banques en France pourraient fermer les comptes de 40 000 " Américains accidentels " français d'ici la fin de l'année. En effet, ces personnes ne sont pas en mesure de se conformer à l'exigence de la FATCA de fournir un numéro d'identification de contribuable américain. Mais le gouvernement n'a pas non plus commencé à négocier une solution à ce problème. » Le Parlement européen a compris l'urgence du problème et tiendra une audition publique le 12 novembre sur le thème " FATCA et son impact extraterritorial sur les citoyens européens ". » Selon un communiqué de l’Association des Américains Accidentels Sur le même sujet
Le COVID 19 est-il le produit d'une expérience américaine hasardeuse menée par l'ONG EcoHealth Alliance, dirigée par Peter Daszak, l'expert de l'OMS qui faisait partie de l'équipe chargée d'enquêter sur les origines du virus ? C'est ce que suggèrent très fortement des documents publiés par un site américain et qui ont l'air très très crédibles. Si ces informations étaient vérifiées, elles constitueraient le chaînon manquant dans la compréhension des origines du virus. Le COVID est-il le résultat d’une expérience américaine hasardeuse menée en Chine, à Wuhan, par l’ONG EcoHealth Alliance ? Il est trop tôt pour le dire, mais les documents publiés par le site Drastic Research, présentés comme émanant d’une source anonyme, jettent désormais un très sérieux trouble sur l’enchaînement d’événements qui auraient pu conduire à la pandémie mondiale. Quelle authenticité et quelle crédibilité pour les documents publiés par Drastic Research ? Nous republions ci-dessus la réponse prêtée à l’EcoHealth Alliance à l’appel à contribution lancée par la DARPA, parce qu’elle nous semble présenter tous les éléments d’authenticité qui la rendent crédible. Elle doit toutefois être lue avec précaution, car elle émane d’une source anonyme non vérifiée. Voici, ce qui, de notre point de vue, peut être retiré des révélations publiées par ce site américain. Le COVID et les recherches militaires américainesPremier point à noter, incontestable et factuel, que les profanes n’avaient pas noté l’armée américaine s’intéresse de près à la question des virus, à la lutte contre les épidémies virales, et à la transmission des virus de l’animal à l’homme. C’est l’objet même d’un organisme tout à fait intéressant, le DARPA, le Defense Advanced Research Projects Agency, créé en 1957 pour relever le défi de la conquête spatiale. Ce DARPA a lancé le programme PREEMPT Preventing Emerging Pathologic Threat en est un programme qui ressemble étrangement à une préparation contre l’épidémie de coronavirus survenue en 2019 depuis la Chine. Voici comment le site du DARPA présente ce programme PREEMPT builds on recent advances in understanding of host-pathogen genetic interactions and mechanisms of adaptation across species, emerging analytic tools to predict what species might carry potential human-pathogens, and novel capabilities to predict geographic “hot spots” where an animal-to-human viral jump is likely. PREEMPT s’appuie sur les récentes avancées dans la compréhension des interactions génétiques des agents hôtes et dans les mécanismes d’adaptation entre espèces, dans la construction d’outils analytiques pour prédire quelles espèces pourraient transmettre des agents potentiellement pathogènes aux humains, et des possibilités nouvelles de prédire les “lieux chauds” où ce saut de l’animal à l’homme est vraisemblable. Transmission d’agents pathogènes de l’animal à l’homme, lieux où cela pourrait se produire, prédire l’évolution des épidémies ces mots résonnent d’une étrange actualité dans l’esprit des contemporains. Les étranges spécialités de PREEMPTIl faut aller sur le site du PREEMPT PROJECT pour comprendre la nature exacte des travaux menés par cette organisation mystérieuse rattachée à l’armée américaine. Si l’une des vocations premières de PREEMPT a consisté à faire des recherches sur le virus de Lhassa et le virus Ebola, l’une des principales préoccupations de l’organisation porte sur la mise au point de vaccins aérosols qui permettrait d’empêcher la circulation des éléments pathogènes parmi les espèces animales. On notera avec intérêt un article du 6 février 2020 intitulé “Des vaccins auto-porteurs pourraient-ils arrêter une pandémie de coronavirus ?”. On retrouve ici l’obsession assez naturelle d’inventer des dispositifs médicaux pour lutter de façon industrielle contre des épidémies. Mais les esprits mal tournés suggéreront qu’il peut aussi s’agir d’outil, inversement, destinés à disséminer des épidémies…Toujours est-il que le PREEMPT s’est préoccupé dès l’origine de la transmission de virus animaux aux humains, et des moyens d’endiguer le phénomène. L’étrange appel à contribution de 2018Dans le cadre de ces recherches, le DARPA lance en 2018 un appel à contribution qui soulève de nombreuses questions aujourd’hui. Voici comment il est formulé DARPA is solliciting innovative proposals for research to develop new tools and models to quantify the likelihood of a virus to jump from an animal host into humans, and to develop and validate new scalable technologies to target potential human-capable viral pathogens in wild reservoirs and/or mosquito vectors to prevent transmission to humans.La DARPA sollicite des propositions de recherche innovantes pour développer de nouveaux outils et modèles pour quantifier la probabilité qu’un virus passe d’un hôte animal à l’homme, et pour développer et valider de nouvelles technologies évolutives pour cibler des agents pathogènes viraux potentiels à capacité humaine dans des réservoirs sauvages et/ Ou des moustiques vecteurs pour empêcher la transmission à l’hommeLà encore, cet appel daté du 19 janvier 2018, soit 18 mois avant l’apparition quasi-officielle du COVID-19, constitue un élément d’autant plus troublant qu’il provient de l’armée américaine. Il contient les ingrédients de tout ce qui fera le COVID un virus passant d’un hôte animal à l’ homme, de nouvelles technologies, des réservoirs sauvages, et, nouveauté ! des moustiques vecteurs qui empêcheraient la transmission à l’homme. Un vrai film de science-fiction… ou une vraie dystopie réponse présumée d’EcoHealth Alliance…Les informations manquent pour savoir quel projet le DARPA a financé dans le cadre de cet appel à contributions. Mais, selon Drastic Research, l’un des postulants appelé EcoHealth Alliance a proposé un projet appelé Defuse, c’est-à-dire “désamorçage”, dont le contenu fait froid dans le dos. Avec, d’examiner le fond de “Defuse”, il faut peut-être donner quelques précisions sur la nature de l’ONG EcoHealth Alliance. On notera d’abord que l’objet de cette organisation fait la synthèse de tous les sujets à la mode au sein de la caste mondialisée lutter contre les pandémies, et sauver à la fois la nature et la planète. Comment résister à autant de bons sentiments ? Les esprits mal intentionnées parleront d’un véritable râteau à subventions organisé. La liste des partenaires de l’Alliance ne manque pas d’intérêt. On y trouve plusieurs entreprises comme Johnson & Johnson, fabricant de vaccin anti-COVID qui a financé la campagne de Joe Biden, mais aussi l’université de la Chine Orientale à Shanghai ou la très officielle CDC. Autrement dit, l’EcoHealth Alliance fait partie de ces lieux de rencontres où des entreprises en mal d’influence rencontrent les pouvoirs publics pour diffuser leurs bonnes idées… et, si souvent, les billets de banque qui aident à leur diffusion. L’étrange Peter Daszak, président de l’ONGMais ce qui intrigue par-dessus tout, dans la EcoHealth Alliance, c’est la personnalité de son président, Peter Daszak, dont les faits et gestes commencent à être mieux connus des initiés. Il s’est illustré pour avoir fait partie de la mission de l’OMS chargée d’enquêter sur l’origine accidentelle ou non de l’épidémie, et a été accusé d’avoir poussé l’équipe d’enquêteurs à conclure à l’absence d’accident. Il est aussi connu pour avoir co-signé un article dans le Lancet affirmant que toute mise en doute de la transmission directe du virus de l’animal à l’homme relevait du esprit avisé ne découvrait pas alors le coronavirus, puisque, en 2014, il recevait un financement pour travailler sur l’émergence des risques de virus de la chauve-souris. Le programme de cette étude affirmait ceci Résumé du projet Comprendre le risque d’émergence du coronavirus des chauves-souris Les nouveaux CoV zoonotiques d’origine des chauves-souris constituent une menace importante pour la santé mondiale et la sécurité alimentaire, en tant que cause du SRAS en Chine en 2002, de l’épidémie en cours de MERS et d’un porc récemment apparu. Syndrome de diarrhée aiguë en Chine. Dans un précédent R01, nous avons découvert que les chauves-souris du sud de la Chine abritent une extraordinaire diversité de SARSr-CoV, dont certains peuvent utiliser l’ACE2 humain pour pénétrer dans les cellules, infecter des modèles de souris humanisées provoquant une maladie de type SRAS et échapper aux thérapies ou vaccins est assez curieux de constater que cette étude annoncée en 2014, avec pour fin annoncée en 2026, ait bénéficié de ses premiers budgets en juillet 2019, c’est-à-dire quelques semaines avant le début de l’épidémie de Wuhan… Retenons bien ces éléments l’étude a commencé officiellement le 1er juin 2014, mais le premier budget date du 24 juillet 2019, avec un achèvement le 30 juin 2022… En l’espèce, ont été versés à l’Alliance. Dans la foulée, celle-ci a publié plusieurs articles qui interrogent On le voit, dès le 1er septembre 2019, la revue Biosafety and Health publiait un article intitulé “Interactions homme-animal et propagation potentielle du coronavirus de la chauve-souris parmi les paysans de la Chine du Sud” qui revêt des accents étranges. L’épidémie de COVID démarrait un ou deux mois plus tard. Troublant, non ?Que contient le projet Defuse ?Le projet Defuse présenté et refusé à l’appel à contributions de la DARPA propose une étude complète sur le coronavirus qui fera froid dans le dos à tous les amateurs de thrillers. En effet, le projet de l’EcoHealth Alliance consiste à… créer un coronavirus dans une grotte à chauve-souris à Wuhan page 5. Comme l’explique la réponse supposée de l’EcoHealth Alliance à l’appel à contribution, l’Alliance travaille sur le sujet des coronavirus de la chauve-souris depuis 14 ans, et détient 180 souches de COVID. La réponse précise que l’Alliance possède une grotte de test dans la province de Yunnan, avec un “assemblage de population qui contient toutes les composantes génétiques de l’épidémie de COVID”…Comment être plus clair ?Peut-être en rapportant quelques points de l’exposé du projet page 2 Voici la traduction de ce passage très significatif “Nous avons déjà publié les preuves évidentes d’une transmission d’un nouveau COVID dans la province du Yunnan, en Chine, près d’un ensemble de grottes où nous avons isolé des souches qui produisent des maladies du coronavirus sur des souris humanisées sans être sensibles à des traitements aux anti-corps ou à la vaccination. Ces virus sont un danger immédiat pour notre armée et notre sécurité globale à cause de leur circulation et de leur mutation chez les chauve-souris et leurs mutations chez les humains”. Rappelons que ce texte date de l’hiver 2018, soit dix-huit mois avant l’épidémie qui nous frappe… Son caractère prédictif est vraiment frappant, et le fait qu’EcoHealth Alliance mette en avant sa maîtrise des “grottes” locales et sa possession de souches de coronavirus sème le trouble. Bien entendu, l’EcoHealth Alliance pointe le danger de ce coronavirus pour les forces armées américaines. La recherche de financements de la part de l’armée prime ici. Mais comment ne pas se souvenir que l’une des théories sur la propagation du virus tient à la tenue des Jeux Olympiques Militaires à Wuhan en octobre 2019 ?EcoHealth Alliance a-t-elle manipulé des souches de coronavirus ?Reste une question pendante dans ce dossier EcoHealth Alliance s’est-elle contentée d’étudier les souches de coronavirus qu’elle avait à sa disposition après 14 années d’études, ou bien a-t-elle procédé à des manipulations hasardeuses qui auraient mal tourné, dans l’espoir de fabriquer un vaccin par aérosol il s’agit là d’une hypothèse parmi d’autres ? Toujours est-il que le passage suivant de la réponse putative à l’appel à contribution laisse perplexe On trouvera la traduction de ce passage ici “Inventaire complet des quasi-espèces de SARS-COV de la chauve-souris dans nos grottes test, Yunnan, Chine. Pour nourrir les data pour configurer et valider notre modèle, et comme base pour notre essai de modélisation immunitaire TA2, le champ d’étude de DEFUSE ciblera les grottes à haut risque de la province de Yunnan, où nous mènerons nos essais, et où nous aurons préalablement identifié et isolé les COVID à haut risque.”Nous laissons le lecteur forger son idée sur le reste du texte, et nous l’invitons à lire la totalité du document en anglais. Reste que l’Alliance reconnaît clairement disposer de trois grottes de test près de Wuhan, et affirme être capable d’identifier et d’isoler les coronavirus à haut risque. Tout ceci prouve si tant est que la réponse à l’appel à projets de la DARPA soit authentique que, en 2018, au moins une ONG américaine était capable de manipuler le coronavirus, et disposait de 180 souches identifiées. Un pas de plus dans la compréhension de l’histoireSelon nous, l’information diffusée par Drastic Research est très vraisemblable et authentique sauf erreur que nous reconnaîtrons bien volontiers. Dans ce dossier complexe, il est sûr et incontestable que l’armée américaine s’intéresse aux moyens de lutter contre une épidémie qui serait le résultat, naturel ou artificiel, d’une contamination des humains par des virus endémiques dans des espèces animales. De notre point de vue, il est aussi très vraisemblable que Peter Daszak détienne des souches de coronavirus près de Wuhan, que son équipe a manipulées peu de temps avant l’explosion de l’épidémie. L’histoire se chargera sans doute d’éclaircir les unes après les autres les zones d’ombre qui subsistent autour de cette époque troublée. Abonnez-vous à notre newsletter Rester libre ! 13 commentaires C’est pas ca… Si vous suivez les news du WIV Wuhan , vous avez du voir que début 2019, ils avaient organisé un colloque sur la sécurité des labo, un manuel sur gestion de risque et meme un article de recherche sur le niveau de sécurité des P2/P3/P4 en Chine qui expliquait qu’il y avait des lacunes.. Rajoutez y du personnel licencié fin 2018/début 2019 pour des fins de corruption je n’ai jamais pu trouver les détails du pourquoi et vous comprenez facilement que ce virus est dehors depuis plus longtemps qu’on ne le dit ! Un appel a contribution qui date du 19 janvier 2018 ? et bien cela peut nous aider a remonter encore plus tot dans la chronologie du covid. Le P4 a ouvert debut 2018. Peut être les ricains ont anticipé n’ayant pas trop confiance dans l’équipe de wuhan ? Des scientifiques nord américain ont retracé que des échantillons de sang des mineurs de la grotte Mojiang virus proche du covid qui a vécu 6 mois dans les mineurs placés en réa, 6 mois qui suffisent a une mutation du virus dans des hotes humains qu’on fait survivre artificiellement ont été envoyés a Wuhan en 2013 il me semble. Le P4 ouvre début 2018. La these, intéressante, dit que quelqu’un sur place manipule les échantillons sans savoir la dangerosité car pas conscience des mutations du virus peut etre dans P4 mais quid de la fuite?, P3 voire P2 car peu de morts du virus de Mojiang = peu dangereux a priori et fin 2018, on a le constat que le virus est dehors et les autorités scientifiques s’activent pour “sauver leur industrie” .. Ce qu’ils ne veulent pas , c’est un moratoire international et un encadrement des recherches génétiques. Quand on voit ou on en est économie détruite, destruction civilisation libérale, vaccination obligatoire en discussion ce jour au Sénat pour un virus ARN qui mute sans arrêt avec un produit ARN par définition temporaire = multiples injections .. arrêtons le massacre d’une Science prise en otage. STOP/ Extrait d’une intervention filmée de Daszak en 2016. Vidéo dans l’article de ZeroHedge . Tout en décrivant comment son organisation séquence les virus mortels, Daszak décrit le processus d’ insertion de protéines de pointe » dans les virus pour voir s’ils peuvent se lier aux cellules humaines » comme étant effectué par ses collègues en Chine » Ensuite, lorsque vous obtenez une séquence de virus, cela ressemble à un parent d’un agent pathogène connu, tout comme nous l’avons fait avec le SRAS. Nous avons trouvé d’autres coronavirus chez les chauves-souris, une multitude d’entre eux, certains d’entre eux ressemblaient beaucoup au SRAS. Nous avons donc séquencé la protéine de pointe la protéine qui se fixe aux cellules. Ensuite nous… Eh bien, je n’ai pas fait ce travail, mais mes collègues en Chine ont fait le travail. Vous créez des pseudo-particules, vous insérez les protéines de pointe de ces virus, voyez si elles se lient aux cellules humaines. À chaque étape, vous vous rapprochez de plus en plus de ce virus qui pourrait vraiment devenir pathogène chez l’homme. Vous vous retrouvez avec un petit nombre de virus qui ressemblent vraiment à des tueurs », ajoute-t-il. On peut aussi se rappeler que Fauci avait indiqué publiquement à Trump qu’il ferait face durant son mandat à une épidémie surprise. Trop fort le Fauci, capable de prévenir d’une épidémie surprise. “To stop the next pandemic, scientists want to vaccinate animals with viruses” – vacciner toutes les chauves souris de la Terre + pangolin + civette + chat / chient / tigres etc.. avec des vaccins auto-transmetteur.. il n’y a que moi qui soit circonspect? “The virus that causes Covid-19 jumped to humans from animals, just like HIV, Ebola” – ils ont déjà les conclusion de l’enquête on dirait ! – pour le HIV, rappelons qu’il vient du singe SIV et qu’il existe depuis des milliers d’années. Les africains mangent du singe depuis très très longtemps . Un événement fait que dans les années 60, il se transmet a l’homme ? Quel est le déclencheur ? – pour Ebola, les scientifiques aussi parlent des chauve souris comme origine.. avec une premiere épidémie en 1976. mais les humains sont en contact avec les chauve souris depuis plus longtemps vu qu’ils les mangent soupe . quel est le déclencheur ? pourquoi vous partagez un lien de fichier vérolé ? ne pas cliquer sur le lien, il y a des virus dans le pdf.. merci Chris.. concernant Gates, il applique à la médecine ce qu’il a fait en informatique… J’ai aussi un scoop le Débarquement de Normandie n’a pas eu lieu, c’est un hoax monté par Hollywood ! A part ça, la Chine est un pays de bisounours, tout le monde le sait, les laogaï ne servent pas de réservoirs d’organes et de cobayes pour les élites du PCC et des progressistes du monde entier. On peut entrer et sortir de Chine avec un billet d’Eurodisney ! Si, si, j’ai essayé, ça marche. Plus c’est gros, plus ça passe ! Entre 1975 et 1980, quand Soljenitsyne a fait une tournée promotionnelle en France avec l’aide de son éditeur français de l’Archipel du Goulag, tout le monde, les médias français, a crié à l’intox américaine. De la même manière que tous les attentats en France sont perpétrés, comme chacun sait, par le Front National. C’est connu, non ! Les documents, c’est bien, les faits, c’est mieux. Tant qu’on n’a pas mis une micro caméra sur le virus originel de la pandémie pour suivre ses pérégrinations mondiales depuis le laboratoire P4 de Wuhan fabriqué par Mérieux Lyon, on pourra proposer des conjectures de toutes sortes. Celle-ci en est une. Ce n’est pas, une fausse piste, géostratégiquement, c’est une conjecture annexe, marginale, une branche de l’arborescence, pas le tronc. La Chine, depuis toujours, vole et détourne les brevets occidentaux, organise des transferts de technologique massifs depuis l’Occident. Ça c’est un premier point irréfutable. Le fait que les américains soient impliquées dans les recherches biotechnologiques des gains de fonction ne fait aucun doute depuis les révélations sur Fort Detrick. Mais qu’ils soient impliqués comme seules causes de la pandémie, ça, cela relèverait du miracle et de l’intox pure et dure. A qui profiterait cette désinformation ? Évacuer petit à petit la responsabilité chinoise dans la crise du Covid-19, c’est tout simplement géostratégiquement imbécile, c’est considérer la Chine comme le Cuba de la Baie des Cochons de notre époque… Et qu’elle serait le jouet d’une manipulation du Grand Frère américain… Wouah, wouah, là, on rit à gorge déployée. Un détail conjoncturel qu’il faudrait ne pas oublier en l’évacuant au plus vite quand la crise du Covid-19 a démarré en Chine puis en Occident, les relations entre Xi et Trump étaient au plus mal. Alors, c’est possible, les amis de Biden auraient pu organiser une joint venture avec le PCC comme ils l’ont supposément fait lors de l’élection POTUS de 2020 pour initier une pandémie internationale et déstabiliser l’Occident alors sous la bannière trumpiste… Plus généralement, la crise du Covid-19 a évidemment tout à voir avec le conflit géostratégique qui avait lieu à ce moment-là entre la Chine et les USA. Ce virus a été sciemment inoculé par le PCC pour déstabiliser l’Occident alors que Trump s’apprêtait à rentrer en conflit ouvert avec la Chine, pour les raisons évidentes que la Chine prépare sans cesse depuis la mort de Mao en 1976 la guerre de conquête de la terre et de l’Occident après avoir ruiné son économie… Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera, Alain Peyrefitte, 1973 En effet, depuis 2020, le monde tremble… Êtes-vous devenus aveugles ou non voyants ? C’est plutôt de ce côté qu’il faudrait chercher à mon sens. Car disculper la Chine de la crise du Covid-19, c’est d’une bêtise sans nom. C’est méconnaitre et occulter la Chine dans sa stratégie maoïste du Grand Bon en Avant, alors que Xi Ping est un “Prince de Sang” du PCC quand son père était un compagnon de route de Mao. Dans ces élucubrations anti américaines typiquement françaises, sachons raison garder, évitons les manipulations et les fausses pistes ou voies de garage ! Les occidentaux surtout en France, sont toujours aveuglés par leur anti américanisme primaire… Ce n’est pas une nouveauté dans un pays qui protège le communisme comme son bébé. UN VRAI SCOOP BRAVO si il y a du faux c’est très bien fabriqué! Le Dr Fleming, cardiologue US, qui a prêté serment avec notre prix Nobel, le Pfr. Montagnier, devant la Cour Pénale Internationale pour dénoncer le crime contre l’humanité, apporte des preuves brevets, etc. que le virus SARS cov2 et les vaccins sont des armes biologiques. Présentation qui date de Juin 2021, en 3 parties, à visionner dès que possible… Scoop ou pas scoop ? Fauci et Daszak sont dans le collimateur depuis quelques temps. Ces infos rentrent dans un faisceau d’indices et d’infos sur les recherches et brevets depuis 20 ans. Ces infos sont une pièce du puzzle de la collaboration USA-Chine + France. Des alertes ont déjà été lancées sur le caractère militaire de ces recherches. Ces infos donnent des éléments supplémentaires pour comprendre la force et la rapidité de la réaction chinoise dès le début de la crise. Anecdote sur une technique “chinoise” d’appropriation de connaissances. Une entreprise française obtient un contrat pour monter une usine en Chine à la condition d’en construire une autre pour le compte du pays hôte. En fait les chinois en montent 2 de plus en douce. Expérience comparable avec les 2 EPR made in China, qui ont quelques soucis. Bon article mais attention aux approximations telles que “créer un coronavirus dans une grotte à chauve-souris à Wuhan” ou “trois grottes de test près de Wuhan” il y a plus de 1500km entre Wuhan et la province du Yunnan. C’est d’ailleurs pour cela que la théorie de la contamination sur un marché local de Wuhan est très peu plausible. Laisser un commentaire Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
ce 19 juillet 2019 association des américains accidentels